Laisse parler ton imagination!

Alors, le sujet, porte bien son nom. Nous allons, ecrire! Oui. Ça ne va pas changer, me diriez vous. Mais si! La nous n'allons pas ecrire comme nous le faisons pour le RPG. La nous allons ecrire tous ce qui nous passes par la tête! Alors laisser sortir et aller votre imagination!

Z'e commence!

Je me sentais étrangement seule. Cette chambre était trop grande pour moi. Depuis que mon époux était parti, contre son gré, au front. Ma vie avait littéralement changée. Le portrait de mon mari, s'effaçait au fil des jours. Je ne pensais le revoir un jour. Le soir, lorsque que je montais dans ma pièce a coucher, l'air se faisait lourd. Il manquait une présence. SA présence. Sa place, dans mon lit, restait vide. Je ne pouvais penser un seul instant, le remplacer. Malgré, que j'avais besoin de réconfort en ces temps de troubles. Jamais je n'aurais imaginé, tromper mon mari. J'aurais sali son honneur, son âme de bon époux, toujours la quand il le fallait. Je l'aimais. Oh oui, c'était certain. Mais, je ne le voyais revenir. Et le statut de veuve, ne m'aurai guère plu. Etre séparer de son bien aimé si brutalement, faisait sans doute, un choc énorme, dans la vie d'une jeune fille de 27 ans. Nous l'attendions avec impatience. Nous! Le bébé et moi. Il ne le savait pas, et quand il reviendrait, il aurait la surprise, la joie de découvrir le fruit de ses entrailles. Fille ou garçon, je n'aurais su le dire. Mais Andrew et moi, avions pris le temps d'en parler, la première année suivant notre mariage. Les prénoms seraient, pour une fille, Lucy et pour un garçon, Ian. Une larme roula le long de mes joues rouge et brulante. Puis ce fut une cascade de perles salées, délicatement tiède. Je prenais une photo de mon cher et tendre. Posait sur la commode. Je m'asseyais sur le bord du lit, les mains, fermement accrochaient au cadre. Le rêverais-je un jour? L'espoir était désormais la seule solution. Alors j'allais attendre et attendre, que mon bien aimé puisse un jour, me redire d'une voix douce : Je t'aime.

Ze continue !

Assise sur ma chaise, j'écoutais distraitement le cours de maths. La voix berçante du prof m'entrainait insensiblement vers le sommeil. Je luttais vaillement contre cet état où je plongeais doucement. Mon voisin de gauche ne faisait rien pour me retenir et celui de droite dormait tout autant que moi. Le prof de maths parlait d'équations, de x, de facteurs et de thèorémes. Autant de mots inconnus pour moi, pourtant attentive en cours, du moins dans les autres matières. J'essayais de rester eveillée en écrivant sur mon cahier mais les mots qui sortaient de mon stylo étaient dénués de sens. Ma tête dodelinait de plus en plus et je me sentais plonger. Ca y est, je m'endors. Au secours ! Réveillez moi ! Non, finalement laissez moi comme ça, c'est très bien. Une petite pause de douceur au milieu de toute cette jungle humaine, de toute cette violence. C'est comme un ange en plein milieu du champ de bataille, une lumière rassurante au bout d'un tunnel sombre. Je suis bien, je rêve. J'aimerais que ce moment dure toute ma vie. Une voix me fait redescendre brutalement sur terre. Comme si d'un seul coup, on crevait le ballon auquel j'était attaché. Ce "on", c'était le prof de maths, vexé que l'on puisse s'endormir pendant son cours. Il me menaçait déja d'une heure de colle. Moi, je m'en fichais, j'avais réussi, réussi à m'échapper de ce monde de fous en rêvant. J'étais maintenant prête à tout affronter.

Passage du livre : "Antigone" que j'ai trouvé assez bizarre et choquant!

"Hémon : Qu'est-ce que tu vas me dire encore?
Antigone : Jure moi d'abord que tu sortiras sans rien me dire. Sans même me regarder. Si tu m'aimes, jure-le-moi. ( elle le regarde avec so. Pauvre visage bouleversé.) Tu vois comme je te le demande, jure-le-moi, s'il te plait, Hémon ... C'est la dernière folie que tu auras à me passer.
Hémon, après un temps : Je te le jure.
Antigone : Meeci. Alors, voilà. Hier d'abord. Tu me demandais tout à l'heure pourquoi j'étais venue avec une robe d'Ismènd, ce parfum et ce rouge à lèvres. J'étais bête. Je n'etais pas très sûre que tu me désires vraiment et j'avais fait tout cela pour être un peu plus comme les autre filles, pour te donner envie de moi.
Hémon : C'était pour cela?
Antigone : Oui. Et tu as ri et nous nous sommes disputés et mon mauvais caractère a été le plus fort, je me suis sauvée. (elle ajoute plus bas) Mais j'étais venu chez toi pour que tu me prennes hier soir, pour que je sois ta femme avant. ( il recule, il va parler, elle crie) Tu m'as juré de ne pas me demander pourquoi. Tu m'as juré, Hémon! (elle dit plus bas, humblement.) Je t'en supplie ... (et elle ajoute, se détournant, dure) D'ailleurs, je vais te dire. Je voulais être ta femme quand même parce que je t'aime comme cela, moi, très fort, et que - je vais te faire de la peine, ô mon chéri, pardon!- que jamais, jamais, je ne pourrai t'epouser. (Il est resté muet de stupeur, elle court à la fenêtre, elle crie.) Hémon, tu me l'a juré! Sors. Sors tout de suite sans rien dire. Si tu parles, si tu fais un seul pas vers moi, je me jette par cette fenêtre . Je te le jure, Hémon. Je te le jure sur la tête du petit garçon que bous avons eu tous les deux en rêve, du seul petit garçon que j'aurai jamais. Mars maintenant, pars vite, tu sauras demain. Tu sauras tout à l'heure.( elle achève avec un tel désespoir qu'Hémon obéit et s'éloigne.) S'il te plait, pars, Hémon. C'est tout ce que tu peux faire encore pour moi, si tu m'aimes. ( il est sorti. Elle reste sans bouger, le dos à la salle, puis elle referme la fenêtre, elle vient s'assoir sur une petite chaise au milieu de la scène, et dit doucement, comme étrangement apaisée.) Voilà. C'est fini pour Hémon, Antigone."

Un passage qui l'intrigue et que je trouve magnifique ! Vous en pensez quoi?

Rien pigé !

C'est normal ^^

Ah bon ! Tu me rassure !

Dis toi qu'on a interro dessus pour mardi et j'ai lu que la moitié!

Eh ben, bon courage alors ! En plus vous avez Mme Struye () ! La grosse galère ! Je compatis !

On arrête le flood ici et on reprend le jeu, s'il vous plait.

Le théorème de la pomme, tu connais? Nan, je me disais bien, aussi ^^

Alors:
Pomme=Énergie
Énergie=Travail
Travail=Salaire
Salaire=Argent
Argent=PS3
PS3=Call Of Duty: Black Ops
Call Of Duty : Black Ops= Mode zombie
Mode zombie= Stress
Stress=Cancer
Cancer=Mort

Tu veux une Pomme ?

Non merci ! AHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHHH ! J'ai mangé une pomme hier soir ! JE NE VEUX PAS MOURIR !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!

N'écoute pas Lilo. Pour cela faut déjà acheté Call Of' et ça c'est formellement déconseillé...

Oui très fortement déconseillé !

Sanne !!!!!!!!!! Dit moi que tu vas bien !!!!! Tout de suite !!!!!! Tu as écrit "il faut déja acheté" !!!!! Ce ne serait pas plutôt "il faut déja acheter" ?????

HanW! Sanne a fait une faute =O!!

Ellana Hudric a écrit:

Sanne !!!!!!!!!! Dit moi que tu vas bien !!!!! Tout de suite !!!!!! Tu as écrit "il faut déja acheté" !!!!! Ce ne serait pas plutôt "il faut déja acheter" ?????

NON je ne vais pas bien ! Tu le sais parfaitement et d'ailleurs on dit : DIS MOI ! Et pas DIT MOI ! Grosse Maligne !

Je claquai la porte derrière moi. L'air frais de ce Vendredi soir me frappa au visage. Au loin j'entendis le clocher sonner. Un, deux, trois, quatre, vingt coups. Le dernier résonna transperçant l'air en le fendant par le haut. Le vent qui soufflait doucement sur Belleu se tut, respectueusement. J'avançai de quelques pas et me figeai. Je me retournai incapable d'en faire autrement et regardai l'imposant bâtiment devant moi. Des fenêtres colorées donnaient sur une cour vide comme le désert du Sahara. A la différence qu'il n'y avait pas même un grand de sable dans l'endroit. Je contemplais silencieusement chaque fenêtre et tout me revint. Les moqueries injustes infligée à Mathieu, les éclats de rire étranges de Benoît, les calculs de Florian, les fous rires de Manon, les dessins de Morgane, les protestations de Kilian, la discrétion de Damien, le sourire de Juliette, la stupeur continuelle qu'on ressentait à chaque bêtise de Corentin, les coups de soleil de Camille, les lunettes de Lucie, les blagues à deux balles de Thomas, la folie de Margaux, les vingt sur vingt de Clarisse, la veste de Valentine qu'elle n'enlevait pour rien au monde, l'humour de Victoria, le faux accent italien de Clément, la consternation amicale de Mohamed envers Kilian, le maquillage de Nina, la grande autorité de Victor et j'en passe...

Les larmes aux yeux, ceux-ci passèrent de la salle de musique à celle de Physique Chimie en passant par la classe de Mathématiques. Je tournai le dos au collège et avançai vers la grille. Chaque pas, de plus en plus lourd me menèrent à la sortie. Après quatre ans ici, il fallait partir. Je franchis le seuil de l'extérieur. Et me retournai une dernière fois. J'essuyai rageusement mes larmes et ouvris des yeux ronds. Dans la faible pénombre qui régnait, le bâtiment me sembla différent. Il ressemblait à un cousin qu'on aime et qu'on voit de temps en temps. J'esquissai un sourire qui s'élargissait au fur et à mesure. Puis je fus secouée d'un petit rire amusé et tourna le dos définitivement à mon passé et me mis à courir.

Aller de l'avant sans s'arrêter toujours avancer. La brise avait repris et mes cheveux battaient mes tempes en dansant avec l'air. J'éclatai de rire et fonçai vers mon avenir laissant derrière moi que des bons souvenirs. Abandonnant tout ces derniers avec l'image de tant de personnes. Mon ultime pensée retentit dans ma tête.

"Je vous aime."

Je vais t'avouer une chose. Tu viens de me faire pleurer comme une gamine ! Ton texte est sublime, magnifique et tellement vrai. Ces souvenirs, NOS souvenirs, resteront gravés dans la mémoire de tous, dans cet établissement. Ce lieu où nous avons partagé des choses plus magique les unes que les autres! Merci Romane !

Je t'aime ! ='D

Mais je t'en prie, j'essaie d'évacuer les choses négatives ça m'a fait un bien fou !

J'imagine! Le pavé que tu nous as sortis ^^

C'est vraiment excellent ! Je comprends que Lilo ait pleuré ! Je le relirais l'année prochaine quand ce sera mon tour de partir ... PARTIR ! Vous allez me manquer, tous et toutes, ami(e)s du forum le plus génial du monde entier !

Toi aussi tu vas nous manquer =( !

On se parlera le week-end et on fera des réunions d'amis ! Ce sera pas pareil mais ce sera toujours mieux que rien ! Je vais m'ennuyer sans vous, vous étiez mes rayons de soleil quand j'étais triste et mes compagnons de tapages de barres quand on devenait un peu fous ! VOUS ME MANQUEZ DEJA !!!!!!!!

Mais arrêtez, de me faire pleurer ! C'est une manie chez vous?!
Vous allez me manqué comme ce n'est pas permis !

On t'aime aussi !
J’espère que l'on se reverra !